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jeudi 20 mai 2010

Devenir végétarien


« Nous arrivons à manger de la chair animale, uniquement parce que nous ne pensons pas à la cruauté de cet acte.»
Rabîndranâth Tagore, premier prix Nobel de littérature de l'Asie, en 1913

Je ne peux pas me considérer comme végétarienne puisque je mange encore du poisson et des crustacés mais il y a un peu plus d'un mois maintenant, j'ai choisi de bannir la viande de mon alimentation pour plusieurs raisons.

Parce qu'en 2002, une opération m'a laissée une plaie ouverte à la cuisse durant quelques semaines. J'ai alors réalisé à quel point un morceau de boeuf et un morceau d'humain se ressemblent énormément... trop à mon goût !

Parce que j'ai vraiment de la difficulté à me nourrir d'un cadavre. L'idée me répugne !

Parce que je ne peux me résigner à être à l'origine de la mort d'un être vivant pour me nourrir quand je sais que je peux faire autrement.

Parce que j'aime ma planète, la seule que nous ayons, et que la consommation de 1 kilo boeuf  représente l'équivalent en GES de 250 km en voiture !!

Parce que plus de la moitié de la planète meurt de faim et que 50 % des récoltes sont mangées par le bétail...

Mes débuts ont été assez difficile sur le plan physique : étourdissement, fatigue, diarrhée... Mais maintenant, j'ai pris le "beat" et je me sens bien ! Si ça vous intéresse, je vous ferai un petit billet sur ce que l'on peut manger (qui soit nutritif et bon - parce le tofu c'est bien beau, mais c'est pas toujours appétissant !!).

Manger végé sans virer fou ni se ruiner !

À ne pas faire :
Devenir végétarien du jour au lendemain ! Votre corps est habitué à la viande, tout lui enlever du jour au lendemain vous fera vivre des moments forts désagréables !

À faire
Commencer par remplacer un ou deux repas de viande par semaine par un repas végétarien puis laisser le temps à votre corps de s’habituer, tout en prenant le temps de vous-même apprivoiser cette nouvelle façon de vivre !

À ne pas faire :
Si, comme moi, vous décidez de ne pas éliminer les œufs et le poisson, vous aurez peut-être tendance à trop en manger… Ne sachant pas comment aller chercher les protéines et les lipides qui me manquaient, c’est ce que j’ai fais ! Douleurs d’estomac et diarrhée assurés !

À faire :
Les œufs et le poisson ne devraient pas représenter plus de 2 ou 3 repas par semaine chacun… Il faut donc trouver le moyen de bien se nourrir quand même ! Le tofu ne m’inspire pas trop et les lentilles, c’est bien joli, y en a même de toutes les couleurs… mais c’est vite plate quand on ne sait pas trop comment les apprêter !

J’ai découvert les repas tout prêts du Commensal et honnêtement, ils sont excellents et vraiment pas chers ! Il y en a un peu à l’épicerie mais vous trouverez tout, tout, tout, directement dans leurs restaurants ! Vous y trouverez des plats préparés, des desserts, des bases pour cuisiner, etc.

http://www.commensal.com/fr/produits/default.idigit

Je me suis aussi acheté un petit livre de recettes (que je ne trouve plus, mais il est là quelque part…) pour commencer à cuisiner végé. Dès que je le trouve, je vous mettrai quelques recettes que j’ai essayées !

Bon appétit ! =)

samedi 1 mai 2010

Ce qui me rend véritablement heureuse...


Ce qui me rend véritablement heureuse depuis déjà un bon moment, c'est que même si les malheurs ou les événements désagréables continuent d'arriver dans ma vie, je les remarque dès qu'ils pointent le bout de leur nez et je change le cours de choses. J'ai toujours plusieurs choix quand quelque chose arrive et c'est à moi de décider lequel je prends.

Fût un temps où j'étais tellement perdue dans ma fatalité que je ne voyais plus aucune possibilités, aucune lumière au bout du tunnel. C'est quand j'ai touché mon fond que j'ai pris la décision d'être heureuse : une décision profonde, sincère et c'est ce que je fais depuis.

Ma mère me répétait souvent (ah ! les mamans...!) :

"A quelque chose malheur est bon."

C'est maintenant que je réalise la véracité de ce proverbe ! Lorsqu'un événement déplorable arrive, j'ai le choix de m'apitoyer sur mon sort, ou de voir le bon côté des choses (il y en a toujours, si, si !), ou bien de mettre un terme à ce qui m'afflige. Trop souvent nous ne sommes pas conscients des possibilités qui s'offrent à nous et écoutant notre ego on accepte la souffrance en se disant (insconsiemment bien sûr) : "encore un peu s'il vous plaît !"

Commencez dès maintenant à prendre conscience du pouvoir infini qui sommeille en vous. N'acceptez plus les souffrances, les petites comme les plus grandes. Vous êtes parfaits, vous êtes nés pour être heureux : soyez-le maintenant et ce, consciemment.