vendredi 28 mai 2010

J'y suis enfin arrivée !


De 3 au 6 juin, ne me cherchez pas car je serai cachée en forêt pour recevoir mon dernier degré de Reiki : ma maîtrise.

Au moment où je me suis engagée sur cette voie de la guérison par l'énergie, je ne savais pas exactement vers quoi je me dirigeais. Pour moi, cela représentait un moment de calme que je m'accordais... Je me suis rarement aussi royalement trompée qu'à ce moment ! =) S'il est vrai que le Reiki calme et apaise lors d'un traitement, l'initié quant à lui peut passer par des moments houleux et difficiles durant lesquels il doit parfois se faire violence afin d'arracher cette carapace de faux-semblants, de préjugés et de masques qu'il s'est formée au fil du temps. C'est par ce cheminement et par lui seul qu'il peut prétendre à la maîtrise. Un véritable maître connaît les extrêmes, il y a navigué et s'y est perdu. La maîtrise n'est en rien magique, elle est le fruit d'un parcours de longue haleine. Comment peut-on guider ses élèves à travers le brouillard si on ne connaît pas soi-même le chemin ?

Je suis vraiment heureuse de cette démarche qui mène à moi... C'est drôle, ça me rappelle un poème que j'ai écrit il y a quelques années, en voici un extrait :

Je suis déchirée, épuisée par cette marche,
Par ce chemin qui mène à Moi,
Je sais qu’elle n’est pas en vain cette démarche,
Car ma vie est soumise à Ses Lois.

Je vous souhaite de marcher sur ce chemin parce que s'il est difficile, la destination est magnifique !

mercredi 26 mai 2010

C'est mon anniversaire !

En ce qui vous concerne, vous êtes en année 7, symbole de la réflexion. C'est l'année où vous allez faire le point. Vous avez besoin de prendre du recul par rapport à une situation qui, globalement, a tendance à vous envahir. Pendant cette année, vous allez beaucoup réflechir à ce que vous pouvez ou voulez changer ou améliorer dans votre existence et votre environnement.
Depuis quelques années, j'ai pris l'habitude de retourner voir mon étude numérologique histoire de voir où j'en suis le jour de mon anniversaire. Je suis toujours agréablement surprise de constater les similitudes entre ce qui se passe dans ma vie et cette fameuse étude.

J'ai eu une année assez difficile où j'ai du faire le deuil de plusieurs choses, dont mon entreprise, d'avoir mon fils à la maison, etc. Il y a eu des moments de doutes, de déroutes et même des passages à vide... Tout ceci m'a imposé de prendre un peu de recul, de faire une introspection et de regarder où j'en suis rendue à l'aube de mes 38 ans, qui je suis devenue à travers les expériences qui ont jalonnées ma vie et ce que je veux pour les années à venir. J'ai fais des choix très importants dans la dernière année... et je sais qu'il m'en reste encore quelques-uns à faire : je les ferai quand je m'en sentirai capable.

Lorsque je regarde derrière moi, je suis heureuse des épreuves que j'ai traversées. Elles m'ont rendues forte, ouverte sur le monde et remplie d'empathie pour les autres. J'aime celle que je suis devenue et sans ces moments difficiles je ne serais pas qui je suis aujourd'hui.

vendredi 21 mai 2010

Légèreté



Je cesse de me culpabiliser et je me libère de tous jugements envers moi-même et envers les autres. Je pardonne, je dédramatise et j'accepte la vie telle qu'elle se présente à moi. Je vois les épreuves comme étant une expérience nécessaire à ma réconciliation intérieure. Ainsi, tout devient légèreté.

Les cartes de Mario Duguay

jeudi 20 mai 2010

Devenir végétarien


« Nous arrivons à manger de la chair animale, uniquement parce que nous ne pensons pas à la cruauté de cet acte.»
Rabîndranâth Tagore, premier prix Nobel de littérature de l'Asie, en 1913

Je ne peux pas me considérer comme végétarienne puisque je mange encore du poisson et des crustacés mais il y a un peu plus d'un mois maintenant, j'ai choisi de bannir la viande de mon alimentation pour plusieurs raisons.

Parce qu'en 2002, une opération m'a laissée une plaie ouverte à la cuisse durant quelques semaines. J'ai alors réalisé à quel point un morceau de boeuf et un morceau d'humain se ressemblent énormément... trop à mon goût !

Parce que j'ai vraiment de la difficulté à me nourrir d'un cadavre. L'idée me répugne !

Parce que je ne peux me résigner à être à l'origine de la mort d'un être vivant pour me nourrir quand je sais que je peux faire autrement.

Parce que j'aime ma planète, la seule que nous ayons, et que la consommation de 1 kilo boeuf  représente l'équivalent en GES de 250 km en voiture !!

Parce que plus de la moitié de la planète meurt de faim et que 50 % des récoltes sont mangées par le bétail...

Mes débuts ont été assez difficile sur le plan physique : étourdissement, fatigue, diarrhée... Mais maintenant, j'ai pris le "beat" et je me sens bien ! Si ça vous intéresse, je vous ferai un petit billet sur ce que l'on peut manger (qui soit nutritif et bon - parce le tofu c'est bien beau, mais c'est pas toujours appétissant !!).

Manger végé sans virer fou ni se ruiner !

À ne pas faire :
Devenir végétarien du jour au lendemain ! Votre corps est habitué à la viande, tout lui enlever du jour au lendemain vous fera vivre des moments forts désagréables !

À faire
Commencer par remplacer un ou deux repas de viande par semaine par un repas végétarien puis laisser le temps à votre corps de s’habituer, tout en prenant le temps de vous-même apprivoiser cette nouvelle façon de vivre !

À ne pas faire :
Si, comme moi, vous décidez de ne pas éliminer les œufs et le poisson, vous aurez peut-être tendance à trop en manger… Ne sachant pas comment aller chercher les protéines et les lipides qui me manquaient, c’est ce que j’ai fais ! Douleurs d’estomac et diarrhée assurés !

À faire :
Les œufs et le poisson ne devraient pas représenter plus de 2 ou 3 repas par semaine chacun… Il faut donc trouver le moyen de bien se nourrir quand même ! Le tofu ne m’inspire pas trop et les lentilles, c’est bien joli, y en a même de toutes les couleurs… mais c’est vite plate quand on ne sait pas trop comment les apprêter !

J’ai découvert les repas tout prêts du Commensal et honnêtement, ils sont excellents et vraiment pas chers ! Il y en a un peu à l’épicerie mais vous trouverez tout, tout, tout, directement dans leurs restaurants ! Vous y trouverez des plats préparés, des desserts, des bases pour cuisiner, etc.

http://www.commensal.com/fr/produits/default.idigit

Je me suis aussi acheté un petit livre de recettes (que je ne trouve plus, mais il est là quelque part…) pour commencer à cuisiner végé. Dès que je le trouve, je vous mettrai quelques recettes que j’ai essayées !

Bon appétit ! =)

Ma voie...


Il arrive un moment dans la vie où, sur la pointe des pieds, on commence à marcher sur le chemin que l'on devait emprunter sans trop s'en apercevoir. J'y suis.

Ma carrière en mode avait bien commencé, mais me gardait toujours insatisfaite de par la superficialité du métier et de ses artisans. J'aime l'authenticité, le vrai et le profond... bref, tout ce que la mode n'est pas. Certaines situations de ma vie m'ont peu à peu guidées vers le domaine de la santé et de la relation d'aide, je venais presque de trouver ma voie, mais ce n'était pas encore tout à fait cela.

J'ai été initiée au Reiki : quelle magnifique découverte ! Des miracles se sont opérés dans mon corps et mon esprit, j'ai donc approfondi et me voilà enseignante. J'y suis presque, mais il me manque encore quelque chose...

Je commence ma formation dans le but d'obtenir mon doctorat en métaphysique tout de suite après le week-end de Reiki. C'est excitant ! Sonder les profondeurs de l'âme et du divin qui se sommeillent en nous, quel beau voyage ! Je m'approche doucement de mon chemin, mais il me manque encore quelque chose...

L'énergie, la relation d'aide, la philosophie... tout ça me fait vibrer à un point... Mais il manque un peu de pragmatisme dans tout ça, je veux de la profondeur concrète, un peu de science pour éclairer mes pas dans l'invisible. C'est en proposant une formation à mon fils que j'ai compris que c'était peut-être à moi de la faire...

Dans 1 an ou 2, après la métaphysique, je m'attaquerai à la naturopathie, plus spécialement à la médecine bio-énergétique. Là, j'y suis. J'ai trouvé ma voie. Je le sais.

mardi 18 mai 2010

Lueur d'espoir



Je cesse de douter de la vie et d'entretenir des émotions lourdes. Je garde la foi et je crois en moi. Les épreuves présentes m'aident à grandir davantage et à me rapprocher de ma divinité. Il y a toujours une lumière, même dans l'obscurité. Dieu me supporte dans mes difficultés.

Comme pour confirmer ce que je viens tout juste d'écrire...

Accepter les épreuves comme des cadeaux


Il peut sembler difficile de voir le bon en toutes choses, surtout quand il s'agit d'une épreuve ou d'un événement désagréable. Mais lorsqu'une personne nous bouscule pour nous éviter d'être happé par une voiture, quelle est la réaction la plus appropriée : la remercier ou l'engueuler ?  La remercier, direz-vous... Évidemment !

Lorsque la vie nous malmène, nous avons la fâcheuse manie de ne voir que l'accrochage sans penser à ce qu'elle a pu nous éviter... Rien de plus normal parce que très souvent nous ne savons rien du coup que nous venons d'esquiver ! Mais si on le savait...?

Aujourd'hui, j'ai eu la preuve que lorsqu'un truc moche arrive, c'est peut-être dans le but se soustraire à pire. Je vous explique :

Il y a quelques semaines je faisais des démarches pour obtenir du financement pour un organisme qui offre des ateliers artistiques à des personnes handicapées. J'ai appelé de nombreuses agences oeuvrant dans le domaine de la santé et l'une des personnes à qui j'ai parlée m'a carrément raccrochée la ligne au nez ! J'étais abasourdie, je n'en revenais tout simplement pas !! Non mais...

Aujourd'hui, cette même personne m'a convoquée en entrevue pour un emploi. C'est la première entrevue que je passe et vu mon expérience et la pénurie dans le domaine de la santé, je sais qu'elle m'offrira le poste... Mais je l'ai reconnue. Si elle n'avait pas heurté mon ego il y a quelques semaines, je me serais présentée à l'entrevue, j'aurais été engagée et je me serais retrouvée avec une patronne pour qui le respect a peu d'importance alors que c'est la valeur la plus importante à mes yeux ! J'aurais très certainement été très malheureuse de travailler pour elle...

Devrais-je être reconnaissante que l'on m'ait manqué de respect ? En ayant maintenant une vision d'ensemble, bien sûr que oui !

Ne doutez pas de la bonté de la vie à votre égard ! Lorsqu'elle vous rentre "dedans", dites merci, même si ça vous paraît difficile... Vous venez probablement d'éviter bien pire !

=)

Communiquez !!


On ne répètera jamais assez à quel point la communication est importante dans une relation qu'elle soit amicale ou amoureuse.

Ce matin, il est arrivé quelque chose qui m'a mis dans tous mes états. Je pensais avoir été trahie par mon conjoint, pas une trahison charnelle mais le genre qui fait plus mal encore, de celles qu'on ne peut pas comprendre. J'étais profondément attristée mais aussi très en colère. J'ai versé quelques larmes en cachette, je ne savais pas comment réagir !

Je savais que je devais lui en parler mais ayant une sainte horreur des conflits, j'avais peur que l'on se dispute... alors je me taisais mais le chagrin me dévorait toute crue.

Quand il est parti travailler, il m'a embrassé mais j'étais un peu distante... Il m'a demandé ce que j'avais mais j'ai refusé de parler... heureusement il a insisté et j'ai tout déballé !

Je me suis vite aperçue qu'il n'avait rien à voir dans cette histoire qui le mettait encore plus en colère que moi ! Il était même prêt à aller se battre pour moi, le pauvre !

Si j'avais continué à me taire, non seulement je serais restée triste (ce qui n'est plus le cas) mais je lui en aurais voulu longtemps... Peut-être même que j'aurais cessé de l'aimer... pour un malentendu !

Lorsque quelque chose ne va pas, dites-le, parlez-en et tentez de comprendre ! On en ressort toujours gagnant !

lundi 10 mai 2010

Merci d'être là...


Aujourd'hui, je suis reconnaissante d'avoir de véritables amies. Vous savez, celles qui ne flattent pas votre ego mais qui vous disent plutôt la vérité, celles qui vous indiquent le bon chemin, même s'il est loin d'être le plus facile d'entre tous. Mais aussi et surtout, celles qui le font avec tellement d'amour que l'on ne peut qu'accepter le message.

J'ai ce genre d'amies et je les remercie de m'aimer suffisamment pour avoir cette confiance inébranlable en moi, cet amour qui me rend un peu plus forte et un peu plus vraie chaque jour.

Quand je me perds, elle me prennent doucement la main et me ramènent à moi. L'ego joue parfois de mauvais tours et il nous éloigne qui Qui Nous Sommes Vraiment. C'est important d'avoir autour de soi des personnes qui nous rappellent gentiment à l'ordre pour ne pas que l'on s'égare trop loin.

Johanne et Danielle, merci d'être des amies d'une telle sincérité et d'une telle authenticité.

Je vous aime !


dimanche 9 mai 2010

Hommage à ma mère

Ma mère est partie un soir de décembre, il y a déjà 15 ans. Bien que j'avais déjà l'habitude des départs précipités ayant perdu mon père et ma marraine, et bien que j'aie toujours eu une relation assez houleuse avec maman, c'est son décès qui m'aura le plus affecté.

Je venais tout juste de donner la vie à mon tour quand elle a rendu son dernier souffle. Je n'avais pas encore eu le temps de réaliser tous les sacrifices qu'elle avait fait pour nous. Je n'avais pas encore compris toutes ses inquiétudes et tous ses chagrins que je considérais alors, malheureusement, comme des tentatives de contrôle.

Alors que son avis n'a que très peu compté pour moi de son vivant, il m'arrive souvent de me demander ce qu'elle me dirait aujourd'hui. Alors que j'essayais de tout lui cacher dans ma jeunesse, je voudrais pouvoir me confier à elle maintenant.

Ma mère était une vraie beauté et chantait l'opéra... Combien de fois l'ais-je entendue chanter l'Ave Maria ? C'est à mon tour de te l'offrir maman...


Après son décès, ma mère et moi avons discuté, nous nous sommes comprises et pardonnées. Elle est revenue me voir pour me montrer qu'aujourd'hui elle a retrouvé sa beauté et qu'elle chante auprès des anges.

Je t'aime maman.

samedi 8 mai 2010

Suggestion vidéo pour ce soir !


La nostalgie de l'ange

Je ne l'ai pas vu, mais je compte le regarder ce soir ! D'après ce que j'ai entendu... c'est excellent ! =)

Lorsque Susie Salmon, 14 ans, est assassinée, elle laisse derrière elle des pans irrésolus de sa trop brève existence. Prisonnière d’un univers étrange et merveilleux entre notre monde et l’au-delà, elle doit maintenant aider son père à retracer son meurtrier et protéger sa famille avant de pouvoir entreprendre son repos ultime.

Tant qu'à y être...

Voici mes deux tounes préférées de ma jeunesse !!





J'en rajoute deux... The tounes de mon adolescence... que j'ai écoutées, encore et encore...



Mes petits plaisirs de la journée !

Voici deux chansons qui jouaient à la radio alors que j'étais en voiture un peu plus tôt aujourd'hui... J'ai dansé sur cette musique dans les discothèques quand j'étais plus jeune mais je n'avais jamais porté attention aux paroles avant cet après-midi :



Ça... c'est assez pour me mettre de bonne humeur ! =)

Victime des autres, bourreau de soi-même


Par Guy Corneau

Extrait

Pour parler plus légèrement de ce combat entre l’ombre et la lumière, j’ai eu l’idée de composer un conte, un conte avec un dragon qui garde un trésor. Le dragon représente la personnalité. Le trésor représente l’individualité retrouvée. Et le héros représente le Disciple de la vie déterminé à sortir de son ignorance. Vu sous un autre angle, nous pourrions dire que le trésor symbolise l’autonomie de l’être et que le dragon incarne les épreuves de la vie qui doivent être affrontées pour entrer en possession de la richesse qu’est sa liberté.

Il faut d’abord savoir que le dragon a derrière lui des siècles d’expérience. Peu d’êtres lui ont échappé véritablement. Il se moque des armes modernes. Vous pouvez faire sauter sa caverne à coups de missiles ou lui trancher la tête à l’arme automatique ; ce sont des solutions temporaires. Un jour ou l’autre, vous trouverez une queue de dragon dans un placard oublié. Rien ne sert de courir, il ira toujours où vous allez puisqu’il est en vous-même.

Pour qu’il accepte de libérer ses victimes, on doit l’affronter en combat singulier, au corps à corps. Il faudra foncer sans crainte d’y perdre des plumes, sans peur d’avoir peur.

Vous devez vous rappeler que ce dragon est passé maître dans l’art de la manipulation et de la culpabilisation. Son avantage sur vous est que tous les coups lui sont permis. Il peut vous émouvoir jusqu’aux larmes pour vous convaincre de ne pas porter le coup de grâce, et vous mettre la patte dessus l’instant d’après, triomphant sans honte. Son seul objectif est de vous garder en sa possession ; il est prêt à tout pour ça.

Vos armes sont limitées mais elles sont efficaces. La première est la volonté. On ne vient pas à bout du dragon de la personnalité par accident. Il est nécessaire de s’appliquer à cette tâche avec détermination. Tous les moments de relâche et d’oubli donnent du répit au personnage, lui permettent de refaire ses forces.

Le dragon se mobilise dès que vous entreprenez votre recherche. Il va dresser devant sa caverne un grand miroir et le tourner contre vous. Ce miroir a la propriété d’être recouvert d’une sorte de brouillard qui confond les assaillants. Voici la première épreuve. En approchant de la caverne vous ne verrez rien d’autre que vous-même et vous vous demanderez ce que vous êtes venu faire là. Tout à coup, la nature même du problème auquel vous vouliez vous attaquer vous échappera. Comme lorsqu’on va chez le médecin et que, une fois sur place, on a plus mal.

C’est le moment de sortir votre deuxième arme : le discernement. Vous devez vous asseoir pour réfléchir et retrouver le sens de votre démarche. Voyant que vous êtes assis à ne rien faire, les fantômes du passé ne manqueront pas de venir vous visiter. Votre enfance et votre age adulte vous reviendront. Le rapport avec vos parents refera surface. Vous constaterez combien ceux-ci vous ont fait souffrir et vous serez tenté de rejeter sur eux toute la responsabilité de vos malheurs, les utilisant comme boucs émissaires. C’est l’option du blâme. Certes, elle vous décharge de toute responsabilité mais elle vous garde victime des autres, et du dragon.

L’option est séduisante ; il faut donc posséder un couteau bien aiguisé pour trancher dans l’illusion. Nombre de chevaliers quittent le champ de bataille après cet examen de conscience qui les a fait conclure que leurs conditionnements relevaient de la responsabilité des autres.

Vous pouvez effectivement quitter le terrain sur le champ et vous satisfaire de ce constat : vous n’êtes ni si méchant ni si ingrat, il y en a des pires, et, tout compte fait, vous vous en êtes plutôt bien tiré. C’est à ce moment précis que des bruits étranges montent d’on ne sait où. Le dragon se tord de rire. Il se moque ouvertement de vous. Vous croyez l’avoir vaincu alors que le face à face n’a pas encore eu lieu. Somme toute, vous avez été une proie facile.

Si vous prenez conscience d’une fausse note en vous et décidez de rester dans la quête, le courage sera votre prochaine arme de combat. Au sortir de votre analyse, vous décèlerez les stratagèmes du dragon. Le miroir qui embrouille les pensées est placé devant l’ouverture de la caverne, il en est la porte d’entrée, pour ainsi dire. Muni de votre petit bagage de connaissance sur vous-même, vous pouvez maintenant y pénétrer. La caverne est noire et humide, empreinte d’une odeur sulfureuse qui donne envie de vomir. A nouveau, les doutes vous envahissent. Avez-vous le droit de faire ce que vous faites ? Pourquoi ne pas laisser les choses dormir comme elles sont ? N’êtes vous pas en train de faire souffrir vos proches avec vos velléités de compréhension et d’autonomie personnelle ? La culpabilité vous étouffe. C’est la troisième épreuve.

Vous aurez l’impression d’être devenu du jour au lendemain un mouton noir pour vos intimes. D’ailleurs, ils vous le manifesteront. Votre mère lance que vous allez la tuer, qu’on n’a pas le droit de dire ça à ses parents et que, après tout, elle a fait de son mieux. Votre mari et vos enfants vous feront sentir que la vie était plus agréable lorsque vous passiez vos journées à la maison. Votre femme menacera de divorcer si vous continuez à l’embêter avec vos histoires de psychologie.

Il est encore temps de fuir. Vous pouvez sortir de l’antre du dragon reprendre votre vie de bonne mère soumise et dévouée ou de garçon bien adapté. Vous pouvez continuer à jouer au gentil, avec un petit excès de temps à autre, histoire d’évacuer la tension. Rien de mal là dedans. Mais si vous en avez assez de ravaler vos frustrations, il vous reste à prendre votre courage à deux mains- poursuivez l’aventure. Sachez seulement qu’au-delà de ce point on n’en revient plus indemne.

Une chose est sûre, vous avez maintenant besoin d’une bougie pour y voir un peu plus clair. Dans les vrais contes de fées, cette bougie est le produit du courage, de la détermination et du discernement fondus ensemble, car le héros sait qu’il est lumière. Mais comme les héros et les héroïnes ne sont plus ce qu’ils étaient, vous sentirez croître en vous le besoin d’un peu d’aide extérieure.

Votre élan de liberté, sans parler de vos angoisses, vous jettera dans les livres de psychologie. Vous voudrez faire de la méditation, du taï chi, de la visualisation. Vous fréquenterez des maîtres spirituels, des psy, des médiums. Vous prendrez des temps de retraite, avalerez beaucoup de vitamines, ferez des diètes, et j’en passe. Avec un peu de chance, car il en faut tout de même un peu, la flamme de la conscience s’allumera. Vous aurez alors l’impression de savoir un peu mieux ce qui vous arrive et où vous en êtes. Premier répit, premier lâcher prise. Bien entendu, au début il s’agit d’une toute petite flamme tremblante, mais elle va quand même faire toute la différence. Parce qu’après ça vous pourrez voir à qui vous avez affaire. La quatrième épreuve vous guette. Elle a pour nom la consternation.

Vous allez d’abord voir la silhouette immense du dragon se profiler dans la pénombre puis vous vous rendrez compte que les anneaux du serpent forment les murs mêmes de la caverne. Autrement dit, le personnage vous entoure de toutes parts. Vous êtes au beau milieu d’un serpent lové autour de vous. Vous réaliserez d’un seul coup que votre liberté est nulle. Le serpent a toujours été là et vous en avez toujours été prisonnier. Son haleine imprègne chacune de vos cellules. Votre vie se résume en quelque sorte à ce ballet mécanique Victime-Sauveur-Persécuteur. Vous saurez alors qu’il n’y a pas d’action dans votre vie, il n’y a que des réactions programmées. Vous n’auriez jamais cru que le problème pouvait être si vaste. Vous allez regretter instantanément d’avoir allumé votre petite bougie. C’était moins pire avant car, comme le dit le dicton, ce qu’on ne sait pas ne nous fait pas mal.

Il vous faudra ici une double dose de détermination pour ne pas céder au sentiment d’impuissance, au défaitisme. C’est la cinquième épreuve. Seules peuvent désormais vous sauver la persévérance et votre foi chancelante en l’existence d’un trésor au-delà de ces méandres tortueux. Vous pouvez bien sur éteindre votre chandelle et faire comme si de rien n’était mais, d’une certaine façon, il est trop tard. Vous ne pourrez plus jamais oublier le spectacle.

Les écailles du monstre sont autant de petits miroirs sombres qui vous renvoient tous une image peu reluisante de votre vie. Ce sont les miroirs de l’ombre. Ils vous convient à un examen de conscience sans fards. D’un fragment à l’autre, vous découvrirez comment vous avez construit votre propre malheur. Comment à force d’atermoiements, vous avez réprimé votre goût de vivre et oublié l’essentiel : l’homme ou la femme libre que vous êtes.

Vous pouvez passer des années dans le dédale de ces petits miroirs. Car, même si le séjour est très inconfortable, on ne peut progresser qu’à petit pas. A mesure qu’on avance, la puanteur s’accroît et le dragon tente de vous étouffer en resserrant ses anneaux. Vous aurez des visions terrifiantes au cours desquelles vous tuerez vos proches. Vous crierez pendant votre sommeil, vous vous éveillerez en pleurant. Rien ne vous sera épargné. La peur, l’horreur, la terreur paralyseront chacun de vos pas ; elles vous démembreront avec plus d’efficacité que le plus habile des chirurgiens. Vous aurez l’impression de voler en éclats.

Vous verrez votre lâcheté, votre hypocrisie, vos manipulations, vos jugements impitoyables. Vous prendrez conscience de votre complaisance et de votre rage. Votre amour de la guerre, votre jouissance dans la maladie, votre capacité de tuer, votre vide, votre haine, votre exhibitionnisme, votre égocentrique, vous verrez tout ce que vous avez toujours souhaité que les autres voient en eux… et ne voient jamais chez vous. Certains jours, il vous semblera frôler la folie. La fibre même de votre être sera défaite à force d’avancer dans cette chaleur froide, dans cette humidité sèche, dans cette puanteur parfumée. Jusqu’à ce que, épuisé, vous déclariez forfait. Jusqu’à ce que vous abandonniez toutes vos postures, et le courage, et la détermination, et la persévérance, et la bougie et tout ce que vous avez appris. Jusqu’à ce que vous vous déclariez battu à plate couture. Pire encore, jusqu’à ce que vous vous fichiez éperdument d’être vainqueur ou vaincu, battant ou battu.

Sans le savoir, vous aurez eu le bon réflexe au bon moment. Car à cet instant précis, vous serez face à face avec le monstre, à sa merci. Les méandres de l’ombre ne servent à rien d’autre qu’à vous épuiser, qu’à faire mourir en vous tout autre désir que celui de vivre quelques instants de paix véritable. Les miroirs de l’ombre servent à vous pousser fermement vers la simplicité de l’essentiel.

Vous pensiez vous retrouver devant un monstre fumant, agité par une colère intense. Pas du tout, le monstre est charmant. Vous devrez à ce point réunir ce qui vous reste de courage et de détermination pour briser la fascination qu’exercent sur vous les yeux de la bête – ils sont la meilleure arme du dragon. Pour gagner votre liberté, vous avez un dernier geste à accomplir : trancher les attaches qui vous lient à votre personnage tel le cordon ombilical à votre maman.

Vous serez alors assailli par la plus formidable attaque de doute, de peur et de culpabilité que vous ayez jamais connue. Maintenant qu’il risque de perdre sa victime, le dragon réagit. Vous entendrez ses cris stridents évoquer en vous la douleur insupportable d’une mère ou d’un enfant. Vous aurez l’impression de renoncer à la vie même. Vous ne devez pas vous laisser attendrir, cela vous tirerait immédiatement en arrière. Il vous faut assumer pleinement le geste que vous faites. Si vous résistez à l’appel des pleurs et maintenez votre volonté d’en finir avec le chantage, la possessivité et la jalousie, vous sentirez les liens céder peu à peu et le dragon blessé relâcher son emprise.

En tranchant la tête du dragon, vous tranchez votre lien au passé et votre compulsion à chercher à l’extérieur la solution à vos besoins. En tuant le dragon, vous renoncez à votre propre grandeur. Vous coupez le cordon ombilical de vos peurs. Vous ouvrez en vous-même un espace de liberté et d’autonomie réelle.

Vous saurez instantanément que l’enfance est finie, que ce ne sera plus jamais la faute des autres, que vous venez de prendre votre vie en main et que vous êtes désormais seul maître de votre destin. Vous direz adieu à la douce irresponsabilité qui a été la votre jusqu'à maintenant.

Cette humble victoire sur le dragon brisera votre indentification au personnage. Vous prendrez conscience que vous êtes parfaitement libre d’être ce que vous voulez, et que vous l’avez toujours été. Aux yeux du monde, cela n’a aucune espèce d’importance que vous utilisiez ou non cette liberté. A vos yeux, cela en a beaucoup. C’est toute la différence entre une vie contrainte, passée à l’attention aux autres, et une vie épanouie dont vous devenez peu à peu le maître ou la maîtresse d’œuvre.

A ce point de votre aventure, vos mains sont sales, vos vêtements puent la sueur froide et vous baignez dans le sang, comme un enfant nouveau né. Les liens mutilés forment autour de vous un cordon ombilical géant. Des larmes de joies vous submergent ; un formidable goût de vivre vous récompense pour vos peines. Un vent de fraîcheur balaie la caverne. Un coin de ciel bleu filtre à travers les rets que forment les anneaux du serpent. Il vous semble que pour la première fois, vous pouvez respirer sans entraves. Vous êtes en train de renaître. Le trésor ? Ah ! Oui, le trésor ! J’allais oublier le trésor ! En fait, c’est ça le trésor ! Vous vous rendez compte qu’au-delà du personnage, au-delà du dragon et de la caverne, il y a l’univers tout entier qui s’étend devant vous, ouvert.

En contemplant votre nouveau domaine, vos yeux s’emplissent de douceur et de compassion, des yeux qui ont vu toute la misère du monde et la tolèrent sans juger, des yeux qui voient à travers les êtres, des yeux qui ne trichent pas. Avec ces nouveaux yeux, vous verrez le cœur de votre mère et vous serez touché aux larmes. Vous verrez le cœur des êtres qui vous ont entouré pendant votre vie et vous comprendrez qu’ils vous voulaient du bien, malgré les coups, malgré les négligences.

Vous aurez les yeux d’une mère qui aime. Vous aurez les yeux de l’amour. Vous saurez à travers ces yeux que vous avez été aimé et que vous avez aimé. Ne serait ce qu’une heure, ne serait qu’une seconde, vous avez été un enfant du désir et de l’amour. Et par la grandeur de cette seconde, tout sera réparé. Le reste, ce sont des détails, des ajustements. Ca ne veut rien dire. Vous n’aurez plus d’yeux que pour l’amour triomphant, l’essence même de tout ce qui est.

Vous serez devant le secret même de votre origine. Vous pourrez ouvrir votre cœur, reconnaître l’amour profond que la vie a eu pour vous, qu’elle a toujours et encore. Si vous ne pouvez assumer cet amour, votre esclavage continuera car c’est la haine qui fait la force de vos liens avec le dragon. Il n’a jamais eu d’emprise sur vous, il n’en a jamais eu d’autre que celle que vous lui avez permis d’avoir en inventant l’histoire de votre enchaînement.

Vous réaliserez que vos parents, vos enfants, vos patrons, vos amis vous reflètent parfaitement. Ils sont ceux dont vous aviez besoin pour évoluer et apprendre à vous détacher. Vous réaliserez qu’ils vous ont poussé à devenir vous-même et vous les aimerez. Sans conditions, vous les aimerez. En faisant la paix avec votre passé, vous entrerez dans le moment présent, vous deviendrez ce petit coin de ciel bleu et par lui vous prendrez possession du ciel.


Réconfort



Je suis sans crainte car une énergie divine m'apporte réconfort. Je m'y abandonne en toute confiance. Je laisse tomber toutes les inquiétudes et tous les sentiments de solitude. Un bien-être m'enveloppe et j'ai maintenant la certitude de n'être jamais seul.

Demandez et vous recevrez...!


Je répète souvent que l'on obtient toujours ce que l'on demande. La plupart du temps inconsciemment parce qu'intégrer cette réalité peut nous sembler assez difficile. Or, la plupart d'entre vous sait que je crois en Dieu et dernièrement je suis tombée sous le Code de Moïse (livre - CD) qui je le savais avant même de commencer ma lecture, allait changer ma vie... Il y a quelques années, Dieu m'a remis les parchemins de Moïse en rêve, alors on peut dire que le titre du livre me parlait !!

Dans les premières pages du livre, l'auteur nous propose un exercice : souhaiter ce que l'on désire vraiment en utilisant le code. J'ai souhaité avoir suffisamment de sous pour payer ma formation en métaphysique d'ici le 10 mai. C'était il y a environ deux semaines et à ce moment, rien ne laissait présager que j'aurais les moyens de le faire.

Or, mardi dernier un client que j'avais complètement oublié m'appelle et je lui promets de lui envoyer un visuel vendredi matin. De modifications en modifications, ce contrat a pris de la valeur jusqu'à atteindre le montant exact du prix de ma formation et... je serai payée lundi, soit le 10 mai !!

Isn't it amazing ?

Je pense que pour que ce code fonctionne, vous devez croire en Dieu. Pas en Jésus que plusieurs appellent Dieu, mais en Dieu Lui-même. Si c'est le cas, procurez-vous ce livre, ou ce CD, et transformez votre vie, maintenant !  Sinon, il existera une autre méthode pour vous ailleurs... et pourquoi pas la vôtre ?

vendredi 7 mai 2010

Le bonheur grandeur Nature !




Lundi c'est ma priorité, je me consacre à mon potager ! Depuis le temps que j'en parle... Pourquoi un potager quand les légumes sont si peu dispendieux en été me direz-vous ? Et bien... pour plusieurs raisons !

La première, parce que je peux ainsi éviter les méchants OGM :


Les principales plantes cultivées (maïs, riz, coton, colza, betterave, pomme de terre, soja, œillets, chicorée, tabac, lin, tournesol) ont des versions génétiquement modifiées. On trouve aussi des tomates, fraises, bananes, chou, chou-fleur, etc.

Les premières plantes génétiquement modifiées (PGM) le furent pour être rendues tolérantes à un herbicide. Aujourd'hui, du maïs, du soja, du coton, du canola, de la betterave sucrière, du lin[76] sont génétiquement modifiées pour résister à l'herbicide total.

Une autre perspective a conduit à l'élaboration de plantes sécrétant un insecticide. Le maïs Bt, le coton Bt doivent leur nom à Bacillus thuringiensis, un bacille produisant des protéines insecticides et qui confère à ces plantes une résistance aux principaux insectes qui leurs sont nuisibles, notamment la pyrale dans le cas du maïs ou le budworm, dans le cas du coton.

Des aliments transformés (huiles, farines, etc) issus de matières premières génétiquement modifiées sont également commercialisables[64].

La seconde, parce que je veux aussi éviter la nanotechnologie dans mon alimentation ! Non mais, faut pas pousser !! Certains sont pours... mais il est hors de question que je me nourrisse de ça ! On pourra me traiter de rétrograde, j'en ai rien à cirer !!


Pour économiser... Eh ! Oui. On a beau payer nos légumes moins chers en été, ce n'est pas le cas en hiver... D'autant plus que les légumes "Made in Quebec" sont introuvables et moi, avec tout ce qui se passe en Chine à différents niveaux (mélamine dans le lait pour bébés, plomb dans les jouets, etc.), il n'est pas question que je mange des asperges Made in China...! Alors, en cultivant mon propre potager, je compte bien faire des conserves cet automne et profiter des fruits de mon labeur jusqu'à la prochaine récolte !

 
Et finalement, le plus beau... Entrer en contact avec la nature : prendre  un instant, quotidiennement, pour communier avec elle... plonger mes doigts dans la terre humide, faire des sauts parce qu'un insecte me frôle, prendre plaisir à croquer dans mes tomates, écouter le champs des oiseaux alors que j'enlève les mauvaises herbes, me choquer contre notre marmotte qui mangera sûrement quelques-uns de mes plants (oui, oui... nous en avons une qui a élu domicile sous notre cabanon !)... Ça, vraiment, ce sera le bonheur !
 
Et, quand mon travail sera terminé, je pourrai me reposer dans mon hamac en me laissant bercer par le vent, en savourant les effluves de mon potager...
 
À voir absolument si vous avez le pouce vert... et surtout si vous ne l'avez pas (!!) : le blogue de Marthe, une horticultrice professionnelle et mon amie ! =)

jeudi 6 mai 2010

De l'autre côté...


Je vis pleinement chaque étape de ma vie dans l'acceptation totale, car une épreuve est le pont vers une compréhension qui m'amène à la réconciliation intérieure. Je vis donc chaque instant dans l'accueil en conservant toujours la foi. Je sais que de l'autre côté, il y a toujours la Lumière.

Ah... Et le calme fût !


En deux jours, j'ai été harcelée par courriel par un créancier qui a tenté de m'effrayer (j'ai fais faillite, qu'est-ce qu'il peut bien vouloir de plus ??), j'ai été agressée et insultée par une personne que je connais à peine, des personnes réservent leur week-end de Reiki mais ne donnent pas leur dépôt, je leur envoie des courriels, mais on ne me répond pas... Mon chum me fait la babounne et je me bats avec mes portes de garde-manger (j'étais à boutte !)... Le bonheur, quoi !

Hier après-midi, j'embarque dans ma voiture en direction de Montréal. Raison officielle : RV avec un client, but ultime : sacrer mon camp ! J'arrête à la SAQ acheter une bouteille de vin, paye avec ma carte... désactivée ! Panique ! M'en vais à Montréal et ma carte de guichet ne fonctionne plus ! Un téléphone à mon institution financière m'apprend qu'on m'a envoyée une nouvelle carte à puce et qu'on a désactivée ma vieille carte... Mais j'ai pas reçue la nouvelle ! Là, j'suis vraiment, mais vraiment à boutte ! Heureusement, j'ai un peu d'argent sur moi, je pars  quand même (je me sauve serait plus juste...) !

Avec mes histoires de carte, j'arrive en retard à mon RV pour Allô Stop et j'espère secrètement que le gars ne sera plus là... Avec la chance que j'ai eue dans les derniers jours, j'ai pas trop envie de rester seule durant 3h avec un étranger. Mais il est là...

Il embarque dans ma voiture et je m'aperçois rapidement qu'il est Bouddhiste. Cool ! On va au moins avoir un sujet de conversation !! Trois heures et demi de purs délices... (Y avait des polices à chaque km !!) C'est comme si Dieu avait mis un ange sur ma route pour couper court à toutes les mauvaises énergies qui m'entouraient depuis deux jours...

Je suis arrivée chez Johanne avec quelques minutes de retard, elle m'attendait sur son balcon. Nous avons mangé sur sa terrasse, avec une bouteille de vin chacune et avons jasé à n'en plus finir... En quelques heures, entre la compassion de mon ange-gardien-compagnon de voyage et l'amour de mon amie, tout le méchant des derniers jours s'était dissipé.

C'est une nouvelle Claudine qui est revenue à Québec. Un peu fatiguée par le voyage et le vin, mais prête à abbattre des dragons !

Merci la vie de mettre sur mon chemin des gens aussi extraordinaires ! =)

mercredi 5 mai 2010

Nouvelle Terre - Eckhart Tolle



L'enseignement de Eckhart Tolle est riche et facile d'accès. Il prône la maîtrise de Soi, sans passer par la religion, ce qui me convient tout à fait !

Voici une série de 10 capsules vidéos. Je n'ai pas encore eu l'occasion de les regarder car je dois partir pour Montréal, mais je voulais quand même vous laisser l'occasion d'en profiter avant moi !!

Idéal pour mes amies qui n'aiment pas lire... =)

Bon visionnement !

Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 1
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 2
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 3
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 4
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 5
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 6
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 7
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 8
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 9
Nouvelle Terre : Eckhart Tolle et Oprah Winfrey - Chapitre 10

Source

mardi 4 mai 2010

Atteindre le calme



Dès maintenant, je laisse tomber tous les stress, toute la tension et toute l'anxiété de manière à atteindre le calme et l'harmonie en mon être. Je prends le temps de vivre chaque instant et de faire une seule chose à la fois.


samedi 1 mai 2010

Ce qui me rend véritablement heureuse...


Ce qui me rend véritablement heureuse depuis déjà un bon moment, c'est que même si les malheurs ou les événements désagréables continuent d'arriver dans ma vie, je les remarque dès qu'ils pointent le bout de leur nez et je change le cours de choses. J'ai toujours plusieurs choix quand quelque chose arrive et c'est à moi de décider lequel je prends.

Fût un temps où j'étais tellement perdue dans ma fatalité que je ne voyais plus aucune possibilités, aucune lumière au bout du tunnel. C'est quand j'ai touché mon fond que j'ai pris la décision d'être heureuse : une décision profonde, sincère et c'est ce que je fais depuis.

Ma mère me répétait souvent (ah ! les mamans...!) :

"A quelque chose malheur est bon."

C'est maintenant que je réalise la véracité de ce proverbe ! Lorsqu'un événement déplorable arrive, j'ai le choix de m'apitoyer sur mon sort, ou de voir le bon côté des choses (il y en a toujours, si, si !), ou bien de mettre un terme à ce qui m'afflige. Trop souvent nous ne sommes pas conscients des possibilités qui s'offrent à nous et écoutant notre ego on accepte la souffrance en se disant (insconsiemment bien sûr) : "encore un peu s'il vous plaît !"

Commencez dès maintenant à prendre conscience du pouvoir infini qui sommeille en vous. N'acceptez plus les souffrances, les petites comme les plus grandes. Vous êtes parfaits, vous êtes nés pour être heureux : soyez-le maintenant et ce, consciemment.

Coalition pour un monde en Paix et en Lumière

Je viens tout juste de créer un nouveau groupe sur Facebook et je vous invite à y adhérer et à y participer en grand nombre !

Le 13 novembre 1999, Doreen Virtue, Gregg Braden et James F. Twyman organisaient une prière internationale pour sauvegarder la paix entre les USA et l’Iraq.


Or, cette journée là, Bill Clinton avait déjà envoyé l’armée américaine pour bombarder son ennemi. Sans savoir pourquoi, l’ordre de tir n’est jamais venu. Le processus de guerre n’a jamais été enclenché. Hasard ?


J’aimerais que vous rejoigniez ce groupe de prière, de méditation ou de visualisation (qu’il soit fait selon vos croyances et coutumes) et qu’ensembles, nous changions le monde pour le rendre meilleur. La seule règle : y croire de tout son cœur !


Puisque le temps n’existe pas, l’heure indiquée pour les « prières » sera votre heure locale.

Qu’en dites-vous ? Invitez vos amis… Plus nous serons nombreux, plus ce sera puissant !

Pour rejoindre le groupe, cliquer ici.

Merci ! =)

Êtes-vous atteint de Victimite?


Le magazine VIVRE propose une série d'articles ce mois-ci sur le sujet de la victimisation. Nous avons tous et toutes tendance, à différents degrés, à se complaire dans notre malheur et à s'appitoyer sur notre sort et cela ne fait rien pour nous rendre heureux, bien au contraire : nous nous créons de nouvelles occasions de jouer les victimes !

Victime... Moi? Vous en connaissez sûrement… Vous savez, le genre de personne à qui tout arrive, mais qui n’est jamais responsable de rien. La pauvre victime du destin, celle contre qui l’univers entier conspire... c’est la victime! Nous avons tous une petite victime qui sommeille en chacun de nous. Comment la démasquer, la réhabiliter, nous permettant du coup de reprendre le pouvoir sur notre vie dans sa globalité?

C’est la question sur laquelle s’est penché le Magazine VIVRE dans le numéro qui vient tout juste de paraître. Notre invitée spéciale est nulle autre que madame Annie Marquier, directrice de l’Institut du Développement de la Personne au Québec, une pionnière qui travaille depuis plus de trente ans dans le domaine de la transformation intérieure pour une nouvelle conscience planétaire.

C’est d’ailleurs elle qui a introduit le mot « victimite » dans notre vocabulaire, alors qu’elle nous présentait, en 1991, le livre Le Pouvoir de Choisir, un livre qui veut nous aider à nous libérer définitivement de l’état d’esprit de victime, retrouver notre puissance créatrice, notre joie de vivre et le sens profond de notre propre existence. Vous voulez vous guérir de la victimite une fois pour toute?

Je vous invite à vous procurer ce magazine qui est malheureusement assez difficile à trouver !!

Bonne lecture et bonne guérison ! =)